Les vibrations énergétiques 

En physique et en chimie newtonienne, les atomes sont perçus à l’image de boules de billard. Deux boules de billard se percutent et provoquent une réaction chimique. En physique quantique, les atomes interagissent, non pas au titre d’interactions physiques, mais au titre d’interactions d’ondes émises par les atomes. Si l’on rapproche ces sources d’énergie, les ondulations interagissent de manière très spécifique. On nomme cette interaction « interférence ». On parle également de superposition. Les physiciens appellent ce vivier de vibrations énergétiques dans lequel nous vivons « le champ » (par exemple télédiffusion, radio, cellulaire, solaire, etc.).

Quelle est la conséquence de l’intrication ou de la superposition – quand les ondes se chevauchent ? Lorsque deux ondes qui sont synchrones se rejoignent (autrement dit, les ondes montent et descendent en même temps), elles interfèrent les unes avec les autres, on parle alors d’interférence constructive : la puissance des ondes combinées est supérieure à la puissance des ondes individuelles. Quand nous (êtres énergétiques que nous sommes) nous trouvons dans un environnement où l’énergie est en harmonie avec nous, nous ressentons davantage d’énergie dans nos vies. L’expression « bonnes vibrations » ne vous est pas inconnue…

Il existe aussi une forme d’intrication opposée. Par exemple, si une pierre A tombe dans l’eau avant une pierre B, l’ondulation associée à l’onde A remonte, alors que l’ondulation associée à l’onde B retombe. Quelle en est la pertinence ? Les ondes ne sont pas synchrones : elles sont déphasées. Quelle est la conséquence de ce genre d’interférence ? Les ondes se rejoignent, s’annulent, la ligne devient plate, l’énergie est absente. On remarque ainsi qu’une certaine forme d’intrication mène à un renforcement de la puissance : c’est une interférence constructive, alors que les ondes qui ne sont pas en harmonie les unes avec les autres, qui ne résonnent pas les unes avec les autres, constituent une interférence destructive.

L’énergie peut se regrouper et soit additionner, soit annuler deux choses. L’énergie peut pleinement influencer la matière. Dans une famille, par exemple, il n’est nulle personne qui ne soit pas reliée aux autres membres de cette famille. Chaque personne dans une même sphère influe sur autrui en raison de sa propre activité ondulatoire. En biologie, vous n’êtes pas seul à contrôler votre santé et vos activités, celles-ci sont également contrôlées par les champs énergétiques qui vous entourent. Les individus peuvent s’entremêler et leurs énergies peuvent se traduire par de bonnes ou de mauvaises vibrations, qui peuvent alors influer sur leur santé. 

Hors champ énergétique, la limaille de fer se distribue au hasard. Dans un champ magnétique, la limaille de fer s’organise entièrement. Le champ agence la matière en une structure. Au lieu de limaille de fer, disons que ces dépôts de fer sont des cellules et ce que vous cherchez un cancer. Quelles sont les causes du cancer ? Si avoir un certain gène peut vous prédisposer au cancer, être porteur de ce gène ne cause pas le cancer. C’est le champ énergétique qui l’entoure qui le façonne. Par conséquent tenter de tuer la cellule cancéreuse ne va pas vraiment à la source de ce qu’est le cancer. Le cancer est une structure matérielle modifiée par un champ déphasé. Par conséquent, lorsque l’on modifie les champs, on change le cancer.

Revenons à la citation d’Einstein, « Le champ est la seule chose qui gouverne la particule. » Tous les aspects de la biologie (la synthèse de l’ADN, de l’ARN et des protéines, par exemple) sont régis par certains champs énergétiques, mais, par exclusion, ne font pas partie des articles écrits en médecine allopathique, ni du champ de cette discipline. Cela ne signifie pas leur non existence, juste qu’ils ne relèvent pas de leur domaine.

Les signaux contrôlant la vie proviennent-ils de l’univers newtonien ou quantique ? La réponse est : les deux. Les signaux newtoniens sont des signaux matériels tels que les médicaments. Les signaux quantiques proviennent de champs énergétiques. De ces deux modes de transmission de signaux, lequel serait la forme de communication la plus désirable pour la cellule ? La cellule choisirait sûrement la forme la plus rapide et la plus efficace de communication, car cela lui présente l’avantage de rester en vie. Un signal à résonance vibratoire est 100 fois plus efficace et infiniment plus rapide qu’un signal chimique. Par conséquent, la cellule choisirait la communication énergétique. Selon l’extrait suivant, les recherches de McClare révèlent ceci : « En compétition, on favoriserait sans aucun doute les machines moléculaires à résonance plutôt que les machines thermodynamiques classiques. »

Les signaux énergétiques modifient les protéines

Revenons désormais aux protéines, blocs de construction matériels de la vie. Comment les signaux énergétiques affectent-ils les protéines ? La superposition énergétique (qui permet aux ondes d’énergie de se rejoindre) peut créer des interférences constructives et destructives. Dans la nature des mécanismes protéiques, les interférences constructives et destructives sélectionnent la forme conformationnelle. Les protéines réagissent à des modèles spécifiques d’interférences. Ce qui se passe réellement, c’est de la biologie quantique : Signal + Protéines = Comportement. Les substances chimiques peuvent transmettre des signaux, mais pas aussi efficacement, ni plus efficacement que l’énergie. Alors, quelle est énergie du corps est impliquée dans la transmission de signaux ? On parle de force vitale (le prana, le chi, etc.), une énergie vitale invisible qui sert à façonner votre biologie et qui, à son tour, s’exprime par le mouvement.

Lorsque l’on se voit dans un miroir, on se voit comme un seul et même organisme vivant, ce qui est une perception erronée. Si vos yeux étaient dotés d’une résolution supérieure, ils s’apercevraient que vous n’êtes pas une entité unique. On est fait de 50 trillions (milliards des milliards) de cellules. Les cellules sont l’entité unique. Quelle est la pertinence de ce facteur ? Que, quand nous déclinons notre identité, nous donnons, par définition, un nom à une communauté de 50 trillions de cellules. Plutôt que d’être une entité unique, l’être humain ressemble plutôt à une boîte de Pétri qui renferme 50 trillions de cellules.

Le milieu de culture de vos 50 trillions de cellules n’est autre que le sang. Les signaux dans le sang, ainsi que les signaux dans le corps régissent activement l’expression des cellules. Mais d’où les signaux présents dans le sang viennent-ils ? Le cerveau est un mécanisme de perception. Il lit les signaux de l’environnement externe et les signaux à l’intérieur de notre corps. Le cerveau est en quelque sorte un chimiste qui convertit les signaux en substances chimiques dans le sang ou par le biais du système nerveux. Mais le cerveau ne lit pas le monde réel, le cerveau décode une vibration électromagnétique du monde réel tel qu’il est interprété par les récepteurs du système nerveux. En lisant l’environnement, on ajuste sa biologie. Voici un exemple : vous sortez dehors et il fait froid. Grâce à votre métabolisme, vous vous réchauffez pour combattre cette sensation de froid et garder votre corps à la bonne température.

À la perception du cerveau, vient s’ajouter l’esprit, et l’esprit, c’est l’interprétation. Le Dr Daniel Siegel définit un aspect essentiel de l’esprit comme étant « un processus intrinsèque et relationnel qui régule le flux de l’énergie et de l’information ». L’esprit interprète les signaux de l’environnement et génère son propre signal et son propre champ électromagnétique. C’est le champ électromagnétique de l’esprit qui, en dernier lieu, détermine les substances chimiques que libère le cerveau, phénomène qui se produit par le biais de la transmission de signaux électromagnétiques des neurones dans le cerveau. Si l’on change la vibration de la cellule, on change la réponse de la cellule, ce qui modifie alors la réaction du corps.

Le principe est simple et il devient alors important de comprendre que ce n’est pas seulement l’environnement qui régit notre biologie, mais nos perceptions et nos convictions : la traduction électromagnétique de nos perceptions ou de nos convictions de cet environnement contrôle notre biologie.

L’énergie façonne la matière

Vous n’êtes pas sans connaître la possibilité de lecture de l’activité cérébrale grâce à l’électroencéphalographie. On place des fils sur la tête d’un sujet et on lit l’activité cérébrale grâce à l’énergie qui passe à travers le crâne, à travers la peau, puis dans l’EEG. Lors d’une magnétoencéphalographie, la sonde ne touche pas la tête, et pourtant elle permet de lire la fonction cérébrale. Quelle en est la pertinence ? Vos pensées ne sont pas renfermées dans votre tête. Vos pensées en tant qu’énergie influent sur le champ qui vous entoure, tout comme le Feng Shui influence le champ qui vous entoure. Vous faites passer votre propre champ en mode Feng Shui. Votre cerveau est comme un diapason qui envoie des vibrations qui ont non seulement un impact sur les cellules de votre corps, mais aussi une influence sur ce qui se passe dans le monde qui vous entoure. Votre énergie façonne la matière.

Lorsque l’on revient à la pensée newtonienne, on considère le corps physique comme distinct de l’esprit. Voilà pourquoi l’esprit a été laissé pour compte dans le domaine de la science et de la médecine pendant si longtemps ; l’esprit est énergie. Mais devinez quoi ? Ce monde est révolu. Nous vivons désormais dans un univers mécanique quantique. L’esprit n’est plus distinct du corps ; l’esprit est « au-dessus du corps ». La citation d’Einstein à laquelle il est fait référence plus haut, me permet de dire alors : « L’esprit est le seul organisme de production de la particule que l’on nomme corps. »

L’esprit contrôle le corps et il le fait à travers les champs électromagnétiques. Les cellules réagissent à toutes les formes de champs électromagnétiques, de champs énergétiques et de propriétés mécaniques quantiques. Le principe de superposition en mécanique quantique, l’effet tunnel en mécanique quantique, tous ces éléments sont également impliqués dans le changement de forme de la protéine. Le changement de forme de la protéine est l’expression de la vie et le changement de forme de la protéine est régi par signaux, et les signaux primaires, tels que leur rôle est reconnu aujourd’hui sur le plan du contrôle de la vie, ne sont plus des substances chimiques, mais des signaux énergétiques et sont donc les fondements complets de la médecine énergétique et de la biophysique quantique.

La médecine allopathique conventionnelle mettant seulement l’accent sur la matière, elle met donc l’accent sur les médicaments. La médecine allopathique n’a pas encore adopté les principes de la mécanique quantique pour une raison simple : les grands de l’industrie pharmaceutique ne veulent pas entendre parler de thérapie énergétique, car pour eux, celle-ci n’est d’aucune utilité commerciale.